Le séminaire sera l’occasion de discuter des propositions théoriques du livre et de leurs implications pour l’action climatique.

 

Le Séminaire Entreprise, Responsabilité et Civilisation (ERC), proposé par la chaire Théorie de l'entreprise – Modèles de gouvernance et création collective, portée par le Centre de gestion scientifique Mines Paris – PSL, invite à une discussion autour de l’ouvrage Le changement climatique comme péril commun. Réconcilier action climatique et justice sociale.

Cet ouvrage propose de nouvelles voies pour concilier action climatique et justice sociale. La lutte contre le changement climatique est en effet menacée de paralysie, car ni les États, ni les institutions internationales ne sont parvenus à établir des principes de justice partagés, au nom desquels répartir équitablement les efforts nécessaires.

Lieu : Mines Paris – PSL, 60, boulevard Saint-Michel – Paris. Également en visio conférence (16h-18h)

L’éditeur,  Presses des mines, sera présent à partir de 15h30 avec des exemplaires du livre si vous souhaitez vous le procurer.

Sur inscription, en indiquant si vous souhaitez participer en ligne ou en présentiel.

Contact : chaire-te@mines-paris.psl.eu

 

 

 

Mathieu Arnoux est l'invité du Séminaire Entreprise, Responsabilité et Civilisation (ERC), proposé par la chaire Théorie de l'entreprise – Modèles de gouvernance et création collective, portée par le Centre de gestion scientifique Mines Paris – PSL, pour une discussion autour de son livre Un monde sans ressources. Besoin et sociétés en Europe (XI^e-XIV^e siècles).

Le mot ressource est installé dans notre langage comme s’il y avait sa place de toute éternité. Mais il n’en est rien : ce mot, jumeau en langue vulgaire du mot savant résurrection, n’a pris le sens que nous lui connaissons qu’au début du XIX^e siècle. La notion apparaît alors, pour penser la révolution industrielle. Et avant ? C’est l’objet de l’enquête menée dans Un monde sans ressources, qui montre que l’Europe médiévale a pu connaître et penser une longue phase de croissance sans utiliser la notion de ressource, et en lui substituant celle de besoin. Au-delà de la curiosité qui a dicté cette enquête historique, la mise en évidence des diverses formes médiévales du besoin et de l’usage ouvre la voie à une compréhension concrète du fonctionnement des sociétés à bases renouvelables qui ont précédé notre monde industriel.
 

Lieu : Mines Paris – PSL, 60, boulevard Saint-Michel – Paris. Également en visio conférence (16h-18h)

Sur inscription, en indiquant si vous souhaitez participer en ligne ou en présentiel.

Contact : chaire-te@mines-paris.psl.eu

L’Académie de l’Air et de l’Espace (AAE) a attribué son Prix de droit, économie et sociologie du transport aérien et spatial à Agathe Gilain, docteure Mines Paris – PSL. Ses travaux ont été conduits sous la direction de Pascal Le Masson et Benoit Weil, au sein de la chaire Théorie et Méthodes de la Conception Innovante, au CGS Mines – PSL, dans le cadre d’un partenariat CIFRE avec Airbus.

Modèles et outils d’évaluation économique peuvent contribuer au pilotage de l’exploration de l’inconnu

Le travail de thèse s’intéresse à des situations du secteur aéronautique et d’Airbus qui impliquent des décisions associées à des utilisations, a priori intrigantes, d’outils d’évaluation économique.
Il étudie, d’une part, comment des modèles de coûts de développement, fondés sur la théorie de la conception, offrent de nouveaux éclairages concernant la nature des décisions de conception (notamment des décisions d’architecture) prises par les ingénieurs du bureau d’étude dans un contexte d’expansion fonctionnelle. Ces modèles suggèrent que l’augmentation polynomiale en x2 des coûts de développement des avions commerciaux depuis les années 1960 serait la signature d’une gestion particulièrement efficace, par les bureaux d’étude, de l’impact d’un phénomène d’expansion fonctionnelle se caractérisant, notamment, par un triplement, entre 1960 et 2018, du nombre d’exigences à satisfaire pour certifier un avion commercial.
Le travail de thèse illustre, d’autre part, comment des modèles d’évaluation économique, fondés sur la théorie de la conception, permettent de calculer et de piloter rigoureusement la valeur de l’exploration de l’inconnu, de la même manière que les modèles d’évaluation économique fondés sur la théorie de la décision dans l’incertain permettent d’évaluer et piloter la valeur de la réduction de l’incertain.
Ces modèles permettent ainsi de rendre compte de mécanismes de structuration de l’inconnu qui sont moins risqués que les mécaniques de réduction de forte incertitude et qui permettent à un portefeuille constitué de projets, a priori non rentables, de présenter un taux de rentabilité x6.

> Télécharger le manuscrit de thèse d’Agathe Gilain

A propos de l’AAE L’Académie s’est donnée pour objectifs de “favoriser le développement d’activités scientifiques, techniques et culturelles de haute qualité dans les domaines de l’air et de l’espace”. Dans ces domaines, elle se propose de valoriser et d’enrichir le patrimoine, de diffuser des connaissances et de constituer un pôle d’animation. > En savoir + sur les récompenses décernées en 2O22

 

Corentin Gombert, doctorant au CGS Mines Paris – PSL, lors de sa soutenance de thèse.

Félicitations à Corentin Gombert, lauréat du prix de l’ARIMHE 2023 pour sa thèse « Incarner la démocratie dans l'entreprise : une recherche-intervention dans une SCOP de conseil », soutenue le 12 décembre 2022, à Mines Paris -PSL.
L’Association pour la Recherche Interdisciplinaire sur le Management Humaniste des Entreprises (ARIMHE) a pour objet de promouvoir la recherche interdisciplinaire et le développement des publications et des manifestations scientifiques sur le management des organisations.

Ce prix est une remarquable reconnaissance de la qualité et de la pertinence des travaux scientifiques réalisés par Corentin Gombert avec ses directeurs de thèse, Jean-Claude Sardas et Cédric Dalmasso.

> Lire un résumé de sa thèse

 

Pascal Le Masson, entouré de Patrick Johnson,Vice-Président Corporate Research & Science, Dassault Systèmes (à gauche) et de Denis Ranque, président. de l'Académie des technologies (à droite), reçoit sa médaille d'académicien.

Pascal Le Masson est l'un des 14 nouveaux membres élus à l’Académie des technologies. Ils ont été reçus officiellement le mardi 7 mars 2023, au cours d’une cérémonie organisée à la Maison de la Chimie.

Belle reconnaissance des travaux de recherche menés à l’École

Ingénieur, puis docteur de l’École des Mines de Paris, le professeur Pascal Le Masson est directeur adjoint du Centre de gestion scientifique (CGS – Mines Paris – PSL).
Ses travaux, conduits notamment avec ses collègues de la chaire Théorie et Méthodes de la Conception Innovante (TMCI), portent sur les processus génératifs, la gestion conceptive et la conception des transitions.
Il est l'auteur de Strategic Management of Innovation and Design (Cambridge University Press, 2010) et de Design Theory (Springer, 2017) et de nombreux articles scientifiques.
Il est responsable du Special Interest Group Design Theory de la Design Society et membre de plusieurs conseils scientifiques.

À propos L’Académie des technologies est un établissement public administratif national placé sous la tutelle du ministre chargé de la recherche et sous la protection du Président de la République. Elle compte plus de 300 membres élus, issus d’horizons variés qui reflètent la diversité des technologies. Son organisation assure la collégialité et la pertinence de son action dans l’exercice de ses missions : les avis et les rapports, orientations générales et programme d’action, sont votés en assemblée plénière. Quatre idées fortes gouvernent l’action de l’Académie pour une appropriation toujours plus raisonnée et collective des technologies : progrès, sens de l’intérêt général, écoute, anticipation. > En savoir +

 

Mines Paris - PSL célèbre la Journée internationale des femmes et des filles de science. Voici une galerie de portraits de femmes scientifiques ayant fait l'actualité récente de notre école. Témoignage de l'excellence de la recherche au féminin.

Chercheuses confirmées, doctorantes, élèves ou alumni, elles font la fierté de notre école. Florilège

Lilia Bouraoui, élève ingénieure de 3e année, 1er prix Fem'Enegia EDF, dans la catégorie édudiante. Découvrez son portrait en vidéo.	Virginie Ren (P19) remporte le Trophée Veolia de la transformation écologique. Son projet de fin d'études sur la consommation électrique des Unités de valorisation énergétique a convaincu le jury.
4L Trophy, une grande expérience humaine pour Laurine Hernandez et Angèle Renard, élèves ingénieures en alternance (Isupfere 20). Récit et photos à découvrir.	Coraline Chartier, doctorante de 3e année au Cemef Mines Paris – PSL, reçoit le 2e prix poster de l’AFPM (Advanced Functional Polymers for Medicine).
Agathe Gilain reçoit le Prix de droit, économie et sociologie du transport aérien et spatial, pour sa thèse effectuée au CGS Mines Paris – PSL.	La Société française de métallurgie et matériaux, SF2M, récompense les travaux de thèse de Juhi Sharma, effectués au Cemef Mines Paris – PSL, par le 2e prix Bodycote.
Éloïse Gaillou, conservatrice, co-autrice du livre Le Musée de Minéralogie de l'École des Mines de Paris, paru en septembre (éditions Gallimard / L'École des Arts Joailliers)	Christelle Combeaud, enseignante-chercheuse  au Cemef Mines Paris – PSL a soutenu son  Habilitation à diriger des recherches (HDR), le 18 octobre, à l'Université Côte d'Azur.
Éléonore Crespo, super star de la French Tech, est co-fondatrice de Pigment, une start-up de planification financière qui vient de lever 65 millions d'euros.	Suzy Canivenc, chercheuse associée au Cerna Mines Paris – PSL, co-autrice de l'ouvrage Le travail à distance dessine-t-il le futur du travail ?, lauréat du Prix Syntec Conseil FNEGE.
Mines Paris – PSL est fière d'honorer, sur ses murs, la mémoire de la célèbre physicienne, Cécile DeWitt-Morette, fondatrice de l'École des Houches, étroitement liée à sa propre histoire…	Nadia Maïzi, directrice du CMA Mines Paris – PSL et de la chaire Modélisation prospective au service du développement durable, co-autrice du 6e rapport du GIEC répond à la journaliste d'i24NEWS à la COP 27 à Charm el-Cheikh (Égypte).

La Journée internationale des femmes et des filles de science, célébrée chaque année le 11 février, a été adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies, en décembre 2015, afin de promouvoir l'accès et la participation pleine et équitable des femmes et des filles à la science. Cette journée permet de rappeler leur rôle essentiel au sein de la communauté scientifique et technologique, et la nécessité de renforcer leur participation. > En savoir + sur la Journée internationale des femmes de science, à l'Unesco Découvrir : Le programme de la Cité des sciences et de l'industrie pour célébrer les femmes ingénieures > Lire également : Elles font PSL Le programme de mentorat femmes et sciences PSL